Nous sommes partis pour des destinées inconnues, que seule notre enfance avait imaginé. Comme les bateaux nous avons traversés la pluie avec l’indécision de ceux qui veulent savoir, évitant les catastrophes, les rivages de l’ignorance, mais qu’avons nous appris. l’oeil voit le noir, Le blanc est vert, Je vois un moulin. Des escaliers de verbes et de vent, souffle fallacieux de l’histoire. Souvenirs de la machine à écrire noire et argent où mon père à tapé ses premiers poèmes, du bistrot abandonné où ma mère était tombée amoureuse. La serrure de la boite aux lettres à rouillé depuis leurs absence définitive.Ta mère cette brise marine qui se lève sur les flots au milieu de nuits hallucinée de légendes, L’amour brûle toujours de plus d’amour. Et l’océan transforme les nuages pour mieux envoler nos rêves, tout est son contraire, tout nous ramène entre vent et marée. Roses, bleus et violets, déjà le printemps nous attends, loin des hommes
©Philsland
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