La vie n'est qu'un espace infini d'amour, tenter de la canaliser où de l'enfermer équivaut à éteindre toute lumière sur cette planète. De Bahia et son sable blanc, nous mettons le cap sur Vitoria avec ses grattes ciel maculés, comme tombés de l'espace sur l'île, elle nous attend tout sourire, comme le seront tous mes voyages au Brésil. Nous nous glissons entre les pluies de la mousson sans trop nous mouiller les ailes. Je suis sur le chemin de tous et de tout et tous et tout me bouscule, la terre est si vaste est belle, grâce à la mer qui lui sert de matrice depuis la nuit des temps. C'est encore le temps des équipes de dockers, il y a les bonnes équipes et les mauvaises, comme en tout, d'où l'importance d'une garde sur le pont. Que les poulies et les câbles soient bien graissé et avoir confiance en ses équipes est la meilleure des choses, pour que tout se réalise au mieux.
Les commentaires récents