PHILSLAND

Charlie et la chocolaterie

A déguster sans modération cette friandise servie sur un plateau par un Johny Deep toujours égal à lui même. Quand à Tim Burton, il est en totale osmose avec le Philsland team. Il est à souligné que ce conte fantastique et merveilleux plaît aux enfant et aux adultes, l'intelligence de l'histoire ne peut que séduire toutes les générations. La musique n'est pas sans rappeler " Tommy" l'opéra des Who. Charlie est un enfant issu d'une famille pauvre. Travaillant pour subvenir aux besoins des siens, il doit économiser chaque penny, et ne peut s'offrir les friandises dont raffolent les enfants de son âge. Pour obtenir son comptant de sucreries, il participe à un concours organisé par l'inquiétant Willy Wonka, le propriétaire de la fabrique de chocolat de la ville. Celui qui découvrira l'un des cinq tickets d'or que Wonka a caché dans les barres de chocolat de sa fabrication gagnera une vie de sucreries.

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Last Days

Ce film ce révèle intéressant pour mieux comprendre un environnement et un quotidien qui peut mener certains jeunes au suicide, ne reste qu'à espérer que celui-ci ne confirme pas ce genre d'idées que la génération Nirvana avait déjà et les poussent à commettre l'irréparable après la vision du film. L'idée de Last days date de 1996. Au départ, la référence au chanteur de Nirvana était peu présente dans le script, comme l'explique Gus Van Sant : "Au début, le rapport avec l'histoire de Kurt Cobain était très ténu. Le personnage de Last days n'était qu'un gamin seul dans la maison. Il se préparait un gratin de macaronis et il regardait la télévision, en évitant le téléphone. Occasionnellement, il sortait brièvement. Il écrivait. Le gamin meublait simplement sa journée. Il me semble qu'il n'était même pas question qu'il meure."Blake, artiste replié sur lui-même, fléchit sous le poids de la célébrité, du succès et d'un sentiment d'isolement croissant. Réfugié dans une maison au milieu des bois, il tente d'échapper à sa vie, à son entourage et à ses obligations. Il regarde, écoute, et attend la délivrance.>>>

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Zathura

"Zathura" qui est la suite de Jumanji raconte l'histoire de deux frères,Walter et Danny Budwing, qui récupèrent hasard une boîte de jeu. En ouvrant cette boîte, ils vont découvrir Zathura, un jeu d’aventures dans l’espace. Mais ce nouvel univers s'avère rapidement truffé de danger. Pour s’en sortir, pour revenir à la vie normale, il n’y a qu’une seule solution: poursuivre le jeu jusqu’au bout. >>>

Sequel from Jumanji. Two squabbling brothers are propelled into deepest, darkest space while playing a mysterious game they discovered in the basement of their old house. On their fantastic journey, they are joined by a stranded astronaut and must survive meteor showers, hostile lizard-like aliens, arocket-propelled robot run amok and an intergalactic spaceship battle. But their greatest peril lies ahead. For unless they finish the game and reach the planet Zathura, they are doomed to be trapped in outer space forever.>>>

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Le Cercle - The Ring 2

C'est la suite du Cercle, The Ring mais non le remake du film japonais Ring 2. Hideo Nakata.A l'origine de la saga japonaise Ring. D'étranges incidents ponctuèrent le tournage. Ainsi, au septième jour, le personnel de régie découvrit ses bureaux envahis d'eau à cause d'une rupture de canalisation. Pour parer à toute malédiction, Hideo Nakata fit procéder à une cérémonie de purification shintoïste dans les bureaux de production et sur le plateau. Mais les incidents continuèrent à se multiplier. Des milliers d'abeilles fondirent un jour sur le camion des accessoires, un conteneur d'eau potable "explosa" sans raison apparente dans la cuisine du bureau de production. Et un matin, sur le parking des Studios Universal, un habilleur de plateau fut chargé par un cerf adulte en fureur.c'est pourquoi Philsland va aller voir si la malédiction se confirme et si mes posts s'arrêtent là, vous en connaitrez la cause.

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Movies of the week

Les films de la semaine: la vie comme elle va, déclinée sur tous les tons. Le cinéma reprend ses esprits après ses deux grand'messes des César et des Oscars, où les outsiders ont raflé la mise, et propose un gros menu avec des histoires graves d'enfants confrontés à la réalité, un documentaire sur les désastres écologiques et politiques qu'entraine la pêche industrielle, mais aussi José Garcia, inattendu en cadre supérieur à la dérive dans le film de Costa-Gavras, et Rupert Everett en roi Charles II révolutionnant le monde du théâtre de son temps. Serait ce la fin de la périodes des biographies, je me suis aperçut que depuis environ un mois, je n'allais voir que des bios "Aviator", "Neverland", Ray ect...

Source:yahoo.com

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