
Le monde confus et incertain, change à chaque pas, il ne suffit pas d'être certain de celui-ci pour arriver à destination. Ce que je pense ou ressens, je ne sais même pas ce que c'est, mais ça fait partie de la vie. Les lumières s'allument, le soleil tombe, les heures se substituent, mon présent défile. Comment peut on vivre sans humanité, il faut aimer, tout les hommes, mais moi je ne le peux pas, comment aimer tout les hommes, serait ce cela le secret du bonheur. Il me
manque toujours quelque chose, c'est cela qui me fait avancer, il me reste toujours un désir à assouvir, une connaissance à acquérir, donnez moi des fleurs et des roses du désert, mais faites que ma soif de lumière ne s'éteigne jamais. il y a plus que la vie, plus elle me donne et plus je veux, elle n'existe qu'à travers mes désirs, elle n'existe que par mon besoin de la connaitre et même au-delà. Au dessus de vertes prairies le regard est toujours attiré par le ciel qui envole le doux manteau des herbes sauvage, il n'est de limite que celle que l'on s'impose. La moindre pensée est une action, la plus simple question une révolution, l'écoute de l'autre un acte d'amour. Ma vie m'appartiens que si je fais partie d'un tout et que je respecte tout ce qui n'est pas moi. Mon imagination part toujours devant sans m'attendre, souvent j'ai juste le temps de la rejoindre avant qu'elle ne devienne réalité. C’est aux heures de faiblesse que nous sentons que nous ralentissons le pas, oublions les enlisés, ceux qui n'attendent rien de la vie et celles qui oublient de la donner. Vivrais je demain, encore une fois, encore un tour de lumière, je veux assister à tout et ce pour l'éternité.

©Philsland
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