Le chemin inconstant entre réel, rêves et suppositions ne fait qu'argumenter l'histoire au milieu de guerres qui n'ont jamais séparés les humains. Entre production planifiée par des âmes asservie par la soif d'argent et pouvoir, au service des attentes et impatience d'une population soumise à la perversité de leurs dirigeants. Entre courbettes, flagellation et mépris, Reste les différences intérieures, l'évasion solitaire, comme l'écriture qui reste un art majeur qui élève mot après mot notre vie intérieure jusqu'à l'éblouissante lumière de la connaissance. La liberté se respire, se ressent et s'écrit partout. N'y aurait t'il pas de liberté sans solitude, de création sans folie, d'amour sans souffrance, la vie ne peut se vivre que de l'intérieur éclairée par la constante lumière de la création et de l'amour. Le matériel n'apporte rien de plus que l'illusion et le besoin de posséder le néant. Combien possède deux identités, la fausse et la vraie, dévoiler la vraie s'avère trop souvent un jeu très dangereux dans nos sociétés. La création est née du sacré, la beauté du regard et l'amour de la liberté. Ce monde nous l'avons en nous, il n'y manque rien car c'est nous qui créons notre monde, la vie et surtout l'amour. La nature nous rapproche, ses rivières coulent dans nos veines, nos mots, nos peurs et nous réunis entre réel, rêves et suppositions, elles nous emportent vers la mer, notre mère, avec toute la beauté de nos vies réunies à jamais.
©Philsland
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