« Je me suis souvent sentie – et je me sens encore – comme un navire qui vient d’embarquer une précieuse cargaison ; on largue les amarres et le navire prend la mer, libre de toute entrave ; il relâche dans tous les pays et prend partout à son bord ce qu’il y a de plus précieux. On doit être sa propre patrie. » Une vie bouleversée, Etty Hillesum, Edition du Seuil, 1985, p. 212
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