Je reste persuadé que pour découvrir l’invisible qui nous entoure, il faut écrire au moins dix poèmes par mois, j’aurais dû me rendre plus tôt à cette sage évidence, c’est ce que me murmure le ciel si nu, comme le tranchant des vagues et le cristal de ton regard à l’éclat de neige, l’amour est la sève de notre monde tourmenté et mes textes des balises qui se reflète dans les yeux des enfants et décompose l’image commune du monde.
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