Une main pleine d'abeilles s'ouvre au ciel
Je m'invente un jour d'avant tellement présent
Ton coeur en tumulte, ta bouche mouillée
Amour arborescent, lové dans des bras absents
J'ai trouvé un poème orphelin , je l'ai adopté
Je rêve en toute innocence, de forêts salées
d'où surgissent des cerfs et des dauphins
Tout est possible laissons glisser la lumière
Des grillons comme fous, écrivent des partitions
Cet étonnement toujours aussi immense, vaste
quand le vent et le soleil me tendent leurs mains
Comment être triste dans ce monde impermanent
Je ne suis pas vide, je m'ouvre et j'aime...
@Philsland
Commentaires