Egaré dans le jour, égaré dans la nuit, Nous foulons la terre d’où nous venons. Nous avons les sources, mais point de ravines toi et moi, notre porte s’ouvre sur la rue, basses sont nos fenêtre. le jus que l’on tire des feuilles sera l’encre verte dont je me servirai pour décrire les chemins qui mène aux rivages de nos rêves. Nous parcourons le monde, des baisers voyageurs plein les poches, les couleurs de l’éclat, le bleu, le carmin, l’éclat jaune de nos rires, indiquent notre position. Chaque vague édifie un monde, que peu imagine, les yeux trouvent les yeux où le mots attendent nos caressent. Et soudain la paix, au milieu des arbres de mer, l’air sent le printemps, si je rêve, ne m’éveillez surtout pas.
©Philsland
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