Ecoute comment se déchire la soie dans la nuit, il y aura toujours, d’abord la végétation, puis les hommes, l’écriture sans encre des lois éternelles, car nous comptons moins que les livres et leurs mots. Ne pas être un condamné de la langue, enfermé au sein d’un langage unique, va où la mer progresse, là-bas où repose les îles, les vagues ne peuvent noyer la mer. Il reste encore sur les hauteurs des montagnes d’autres lilas que tes yeux. Parle moi de la paix, que peux connaisse écrite dans les gènes depuis l’âge de glace. Petite fille tu claquais les portes, aujourd’hui, assise tu vides les étés. Ta mère, c’est la vie qui bat dans tes artères. Seul le voyage offre une perpective, ouvre grand tes bras, respire un grand coup et prend ton vol.
@Philsland
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