Du grand cristal inutile où se répète le temps, il faudra comprendre la leçon du chagrin et comment réparer ce qui danse . Emmène moi, vers les hautes terres au feuillage de neige, là où l’air se laisse toucher. Peu à peu les ombres se libèrent, Je vois à travers des images se dessiner d’autres images, aussi paisible que le dos des rochers. Alors je parle tout seul et sous les arbres je m’assieds. Avant de t’aimer je n’avais rien, Je ne veux que rester sur tes paupières et ne jamais m’envoler. La grande route de l’aube, nous attendras toujours, pour aller aussi loin que l’amour.
©Philsland
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