Il faut savoir tenir une rose dans la main avec l’élégance incertaine de poètes tourmentés.Je vous ferai la terre et l’océan pour vos voyages, mais parlons à voix basse de nos rêves inachevés. Verlaine savait être le roi d’un palais d’hiver dans le matin froid, triste et beau, ressentir Le souffle des statues. La vraie vie se trouve toujours avant la croisée des chemins à l’orée de la forêt la pierre précieuse posée sur la mousse.Laissons de bon matin nos lits emplis de songes fantastiques, tout en rêvant violemment de verdure sauvage en gardant les pieds dans le béton. là, où l’insidieuse angoisse t’elle le serpent se glisse en nos regards, la flamme ressemble à l’âme de l’homme,La lumière de la vérité se trouve en sa lumière, mais il l’ignore.Comme une luciole tes pensées s’allument et s’éteignent et moi je les suis à travers les oliviers emplis de savoir, car tu es la femme, la sagesse de l’humanité.Le phare ne troue plus la brume, mais se mêle à la profondeur de la rosée au fil de l’herbe.Tandis que l’horizon régurgite ses bateaux, c’est ici que je reconstitue le chemin qui ma mené au centre de toi. Pardessus les forêts et les océans criant ton nom dans le tumulte de nos mondes enchevêtrés, racines de nos âmes, pourtant au sein d’un vent glacial dans nos regards des soleils dansent pour l’éternité.
©Philsland
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