Le vent, le sable, le sel nous ont toujours ensorcelé, avec eux j’ai oublié le volume obscur des visages fermés. Tout un village au bout des cailloux, dort dans sa feuille, les réponses se trouvent toujours dans le silence. Ici les fenêtres ressemble à des vases débordant de fleurs et les balcons donnent sur des jardins, les murs bas sont harmonieux. Tout est toujours à refaire lorsque la lumière revient, je ne bouge pas, ne parle pas, ne pense pas, je regarde. J’ai attrapé tellement de nature dans le filet de mon âme, le soleil ne brûle pas, dans mes pas l’eau. Un jour tout nos livres s’effondreront dans la mer car rien n’abrège la mer n’y un oiseau, n’y un bateau, il n’y que l’eau, seule obstination, l’amour et ses couleurs.
he de yacer con el estéril tiempo
©Philsland
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