Toujours marcher là où les autres ne vont pas, regarder vers une autre direction que les montagnes d'argent, savoir que la beauté se trouve en toutes choses que la nature crée et ne plus entendre les cris et les chuchotements. Même si la lune n'a plus la même couleur depuis que l'homme y a posé ses pas et que le soleil doute de ses rayons à cause de trop de pollution, il reste toujours la conviction de retrouver un jour la sensation du bonheur sans parenthèses. A travers le voile fin de nos rêves et la douceur de velours de nos caresses manquées, on distinguent des étoiles qui illuminent toujours nos soirées pleine d'attente. Entre patience et résignation il y a le souvenir des instants vécus au sein d'amour déchu et cela suffit pour chaque matin reprendre son pas avec espoir. Il est des êtres comme des vagues, ceux qui prennent de la hauteur malgré le peu de vent et de remous et ceux qui restent dans les creux, les premiers arrivent toujours un jour au rivage de la terre promise, même si ils doivent avancer à contre courant.
Philsland©NightReflexionCo.
et accepter qu'on est juste de passage, et que sauver notre propre race, n'est pas forcément une fin en soi... ;-)
Rédigé par : sagsag | lundi 26 juin 2006 à 21:54
Je ne crois pas que la lune n'ait plus la même couleur ni que le soleil doute de ses rayons, ce serait donner bien trop d'importance aux actions de l'Homme. C'est juste cet Homme qui ne les voit plus de la même façon... Et c'est bien fait pour lui. Mais la terre continuera de vivre bien après la disparition définitive de ce stupide, borné et égoïste moustique appelé Etre Humain...
Rédigé par : euqinorev | lundi 26 juin 2006 à 13:40