Le soleil brûle mes yeux et aussi loin que ma vue porte c'est ton visage que je vois
Des panneaux essayent bien de me faire oublier ton nom, mais qu'importe leurs direction
On ma raconté que l'amour n'avait pas de distance, mais celui qui me la dit était sans toit
Ce vieux morceau de country me rappel nos rires dans ce pub prés de Lewiston
Sur mon visage je crois sentir de la sueur glisser sur ma joue, mais c'est une larme
Croiser une autre voiture en me disant qu'elle va vers toi, sans le savoir me rassure
Aurait il fallut plus de convictions dans mes mots pour qu'à jamais tu me suive sans armes
La vie n'a pas compris notre histoire et son insouciance élargit ma blessure
Peut être qu'après les montagnes la route s'élargira et qu'ainsi rentrerais je dans le trafic des solitaires, de ceux qui sont sans ton amour.
Philslandprose
c'est beau, mais comme c'est triste :-(
Rédigé par : lulu | samedi 22 janvier 2005 à 23:31
beau et tellement juste...
Rédigé par : sage | dimanche 23 janvier 2005 à 00:17
la dernière phrase est si belle!
Rédigé par : nam-nam | dimanche 23 janvier 2005 à 14:31
"Dans le trafic des solitaires"... Je vois une autoroute bondée... chacun seul dans sa voiture... Parfois un échange de regards, au maximum un petit signe... Belle description réaliste...
Rédigé par : Féerisette | lundi 24 janvier 2005 à 14:19